Nom :

Site du Ste-Adèle Lodge (hôtel Montclair)

Adresse :
 

Autour du 143, rue Morin
Sainte-Adèle

Cadastre (1882) :

Lot 9A-5, rang XI, canton Abercrombie,
cadastre de la Paroisse de Sainte-Adèle

Cadastre (2003) :

Lot 2 231 277, cadastre du Québec

Date(s) de construction :   

Vers 1940


Historique de l'immeuble

Un hôtel a été opéré à cet endroit de 1910 à 1928 par Grégoire Rochon. En 1928, il le cède à Adélard Marin et son épouse Élida Berthiaume qui vont l'exploiter pendant une dizaine d'années sous le nom d'«hôtel Maison blanche».

En 1939, l'hôtel est acquis par Irene Maud Hutchings et son époux Thomas G. Potter qui le reconstruisent et le nomment «Ste. Adele Lodge». Ils ajoutent au pavillon principal les pavillons «The Pines» et «The Cedars» à l'arrière, ainsi que plusieurs chalets et ouvrent les pentes de ski alpin « 40 - 80 » sur la colline située à l'extrémité nord du terrain. En 1957, l'établissement prend le nom d'«hôtel Montclair». À partir de 1969, le domaine est morcelé et l'hôtel est finalement démoli. Pendant quelques années, les pentes de ski continuent à être opérées par la Ville de Sainte-Adèle, qui en a fait l'acquisition.

Documents

Références

  • --, « Le "Montclair" redevient la "Maison Blanche" », dans Le Journal des Pays-d'en-Haut, 16 décembre 1967, pages 10-11.
  • Bourbeau, Jean-Pierre, Les Laurentides, la belle randonnée, Sainte-Foy, Les Éditions GID, 2005, page 176.
  • Cousineau, Élaine, « Le Sainte-Adèle Lodge », dans La Mémoire, no 128, automne 2013, page 14.
  • Dubuc, Michèle et Jean-Nicolas Perrault, Les vraies belles histoires de Sainte-Adèle, Les Éditions Sainte-Adèle, 2005, pages 251-256.
  • Garceau, Henri-Paul, Chronique de l'hospitalité hôtelière du Québec de 1940 à 1980, Montréal, XYZ Éditeur, 1995, pages 15, 19, 51 et 189.